» NOM : Làska» PRÉNOM(S) : Hunk Adam » AGE : 40 ans » DATE DE NAISSANCE : 12 mai » LIEU DE NAISSANCE : Los Angeles » PROFESSION : Journaliste, langue de vipère. » STATUT : Célibataire » ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel » CREDITS : Tumblr

» CARACTÈRE
Charismatique » Vulgaire » Souriant » Manipulateur » Énigmatique » Fourbe » Extravagant » Egoiste » Jovial » Plutôt malhonnête et hypocrite » Travailleur

» GROUPE
i live for business » Il n'y a que le travail qui l'importe, parce qu'il exerce sa passion et ne compte jamais arrêter. Sa vie en est comblée et il se passe du reste.

» CE QUI LE REND UNIQUE
Cuisine affreusement mal, il a réussit à mettre le feu à la tente une fois lors d'un camping entre amis dans les bais de St Francisco en voulant faire des crêpes. » Espionne clairement tous ses voisins et ne s'en cache pas. » Ne sais pas nager, il a toujours sécher les cours de natation car justement il craignait le regard des autres adolescent. » Possède une collection conséquente de paire de lunettes. » Est attiré par les personnes plus jeunes que lui, réclame parfois de ses partenaires d'être appelé papa. » N'a jamais réussit à entrer dans l'équipe de Basketball au lycée, une frustration qui le pousse à détester ce sport jusqu'à très peu où il a pu rencontrer des joueurs de l'équipe américaine. Une revanche. » Tiens tout particulièrement à sa moto, une Harley Touring ; il a déjà parcourus plusieurs fois la road 66. Il aime la sensation à moto et c'est un véhicule franchement pratique ! » Enfant, il voulait être chercheur d'or. Chose qui grandement fait rire son entourage ! » Il a été emprisonné deux mois à la Nouvelle Orléans pour vagabondage. » Adore danser bien que parfois il aborde le dance floor de façon douteuse. Il ne se prend pas trop au sérieux et a pertinemment conscience qu'il a besoin de cours. Au diable les conventions ! » Adore vraisemblablement se moquer des autres et de leur malheur. » Ne fais jamais les choses à moitié, il adore les paris stupides et les jeux d'argent.

Je ne suis pas quelqu’un d’important, pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé. Ma vie, elle est comme celle des autres : étrange. Je ne suis pas l’un de ces gamins ont vécu une véritable tragédie dès leur naissance, des traumatisé à vie, des écorchés vif. Je n’ai pas été abandonné et je crois que j’ai été heureux, alors laissez tomber vos théorie foireuse sur l'enfance pour expliquer mon comportement d'enfoiré. Je suis né dans la cité des anges, pas si loin d’Hollywood mais nous n’étions pas célèbres. Tous les gens de Los Angeles ne sont pas des célébrités. Ma mère, c’était mon idole. Elle et Stevie Wonder. Ouais, j’adorais ce gars là. Mais tout n’était pas rose, nous ne manquions de rien. Mais ma mère a eu un accident. Je vois, encore un pauvre malheureux à qui l’on a arraché sa maman beaucoup trop jeune. Raté. Elle est en vie ; elle est belle et respire encore. Maman, dans son fauteuil elle se débrouille comme elle peut. C’est clair, c’est choquant pour un gamin de sept ans de devoir aider sa mère qui est tombée des toilettes les fesses souillées. Je crois que j’ai eu du mal à m’en remettre. Mon père lui, c’était le déni son arme. Pour lui, elle était capable de faire les choses comme avant, rien n’avait changé et il voulait un deuxième enfant. Du coup, c’était moi l’homme. Mon père, un peu l’enfant avec le temps. Celui qui ne rentre pas le soir, qui va jouer au poker avec ces copains et moi qui me battais avec un sachet de nouille avant de décider de commander une pizza. J’ignore si mon père a été violent avec ma mère, je sais qu’elle pleurait beaucoup. Alors je m’enfuyais avec mon vélo, j’allais dormir chez mon meilleur ami et nous dormions dans son jardin sous une tente. Le camping, c’est dingue comment j’adorais ça. Avec Josh, on faisait les quatre cents coups. On n’était pas des gamins bien brillants, franchement ; les cours ça nous ennuyaient. J’aimais bien passer du temps avec lui, un peu trop d’ailleurs. L’on pensa que j’étais gay au lycée. Sans parler de cette coupe de cheveux que moi je trouvais sensas et que les autres trouvait "tapette". Bref, un jour j’ai décidé de m’intéresser aux filles et ça a changé ma vie. Ouais, j’ai laissé tomber les blagues et les jeux de gosses. Moi, j’aimais bien les pétards et en mettre dans les toilettes, c'était énorme. J’étais un emmerdeur, je crois que je le suis toujours. Mon père, il ne pouvait pas s’empêcher de rire de mes bêtises devant le proviseur qui n’en fut que plus dépité encore. Je l’aimais mon père, même s’il te prenait des anxiolytiques en cachette. Je le laissais manger ses cachetons, pourvu qu’il soit heureux. Quel avenir m’était promis ? Je ne savais pas, je m’en souciais pas trop. Je m’amusais. Je me disais que la vie devait être vachement ennuyante une fois adulte ; j’aimais l’aventure. Je voulais être chercheur d’or ; ça ou Indiana Jones. Je me suis pété le bras une fois en sautant du toboggan. Ouais, j’étais un gamin normal.

En tout cas, comme la majorité des américains, je suis allé à la fac. Comme cette même majorité, je me suis planté. Il faut dire, le droit civique ; je m’en foutais. J’étais bien plus occupé à lire des magazines de presse à scandales que le code. D’ailleurs en deux ans, je ne l’ai pas lu une seule fois. Pourquoi est-ce qu’on ne passe pas un examen sur les déboires de Paris Hilton ou les péripéties du couple Cruse ? Là-dessus, j’étais incollable. Ouais, je crois que vivre à LA ça me montait un peu au cerveau. Puisque je ne vivais pas en Amazonie, j’ai abandonné l’idée de devenir Indiana ; d’ailleurs je n’avais même pas de fouet. J’avais douze ans que j’ai voulus en acheter un dans un sex-shop et je me suis fait recevoir par le commerçant ; outré ; quel hypocrite ! Il fallait dire, à cette époque j’étais loin de me douter que l’on puisse faire autre chose avec un fouet que de l’enrouler autour des arbres pour survoler des précipices dangereux. J’ai appris plein de chose en entrant dans ce magasin. Bref, je sortais de deux ans de fac avec aucun diplôme ; alors j’me suis trouvé un job pas banal. Guide. Ouais ce n’est pas une blague ; il y a plein de touriste à Los Angeles et je leur faisais visiter le coin. J’ai appris à baragouiner plusieurs langues comme ça. En fait, c’était une vie vachement chouette. Je me moquais des touristes dans leurs dos et je rencontrais plein de gens célèbres sur Hollywood Boulevard, tout cela en étant payé. Tous ces gens dont je lisais leur vie dans les magazines. J’avais de la chance de vivre à LA.

Puis j’ai fini par m’ennuyer. J’habitais toujours chez mes parents, à vingt sept ans ça craint un peu. Ils me reprochaient de tout le temps partir en vadrouille sur ma Harley ; mais j’aimais ça. Puis plus tard je me suis calmé. En fait, ça était le choc quand Josh s’est marié. Il avait l’air heureux, moi j’avais l’air seul. J’étais seul. J’étais triste au fond. Ouais, j’lui en veux de m’avoir abandonné. J’ai essayé de me trouver un job alors ; quelque chose qui entrait dans le moule et permet de faire des rencontres. Mais j’n’ai rien trouvé, je n’avais pas de diplômes et ne savais pas faire grand-chose de mes dix doigts. Je vendais du vent. Puis un jour, un type me propose 400 dollars pour mon téléphone portable. Bon dieu je ne réfléchis pas et je le vends ! Et que fait-il avec ? Il prend une photo. Qui peut dépenser 400 dollars pour prendre une photo bonté divine ? Un paparazzi. Voila comment je me suis mis en tête que moi aussi je traquerais les gens heureux. J’ai eu du mal à faire ma place, puis un jour j’ai réussi à prendre Hilary Duff  à poils derrière sa baie vitrée. Le début de la gloire ! Pas de bol, je devais rester anonyme disait le reporter. Alors Halaska. Comme c’est original comme jeux de mot n’est-il pas ? J’ai œuvré sous ce pseudo pendant cinq ans, puis j’ai ouvert mon propre blog. Autant dire que je ne me suis pas fait que des amis dans le milieu. Je me suis fait embaucher comme journaliste dans un petit journal de LA, j’étais ravi. J’avais un bureau pour la première fois de ma vie, avec mon nom sur la porte. J’ai même poussé ma mère jusque là pour qu’elle puisse le voir. Elle était fière. J’n’suis pas un fils à maman. Bon peut-être un peu ; mais je l’aide à prendre sa douche et ce n’est pas rien quand même ; ça crée des liens. Mais il n’y a qu’elle qui compte ; parce que les autres et bien ils n’existent pas pour moi. Je suis cruel, égoïste peut-être. Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça, je l’ai toujours été. Vagabond et perfide. Je me demande ce que fais mon père, j’aimerais bien qu’il existe. Alors j’ai décidé de quitter la maison, je me dis qu'il sera bien obligé de prendre soin d'elle. Je me suis installé à Beverly Hills ; un chouette appartement où je pouvais apercevoir Hollywood Hills. Je crois que je n’ai jamais songé quitter LA. Jamais jusqu’à ce que l’on me propose le genre de promotion qui ne se refuse pas.

Nous avons besoin de quelqu’un pour faire la publicité d’une résidence, d’un village paradisiaque. Une mini ville à l’allure de refuge. Rien de bien transcendant. Mais on me proposa d’y vivre ; on me proposa d’y produire un journal mensuel afin de promouvoir l’endroit. De donner l’envie aux autres d’habiter les lieux. Alors j’ai accepté. Mon journal à moi. Bon c’était comme produire un journal dans un village paumé dans l’Illinois ; mais j’étais ravi. Pourtant, mon coté paparazzi me hante. Et les secrets des habitants risquaient d’être chamboulés ; la plupart cherchaient refuge dans ce village. C’est drôle ; il pensait bien pouvoir les rendre célèbres par leurs déboires ; et lui en tirerait profit. Le paradis peut vite devenir enfer.

Et voilà, ta présentation est terminée. Tu fais désormais partie de la creek village's family, c'est pas la classe ça?! Pour parfaire ta validation, n'oublie pas d'aller recenser ton personnage dans le bottin (ici) si ce n'est pas déjà fait ainsi que de compléter la fiche métier afin d'avoir un peu d'argent pour vivre (ici) et donc d'avoir un logement (ici). Une fois que c'est fait, n'hésite pas à aller lire les quelques annexes qui concernent la résidence afin de savoir à quel épisode nous en sommes (ici et là). Après quoi, n'oublie pas d'aller créer ta fiche de liens afin d'avoir pleins d'amis (ici) et ton petit journal (ici). Une zone secrète t'es aussi réservé à toi ainsi qu'à ton groupe. Beaucoup de choses pourront y être préparer (ici). Une fois tout ça fait tu pourras venir t'éclater parmi nous et si tu as besoin de quoi que se soit, n'hésite pas à venir harceler les membres du staff